Il n'est pas supperflu de juste faire un petit mémo pour ces crétins des Alpes de Haute Savoie mafieuse et leurs réseaux criminels pour qu'ils comprennent bien les messages. Comme ils sont frappés d'aveuglement, volontairement placé devant leur faculté d'entendement, ils ne capteront pas un iota de ce que je raconte ici, mais peu importe, ils ne pourront pas dire qu'ils n'étaient pas au courant.
La première chose qu'il faut bien avoir en mémoire, c'est que les Athanatos aiment jouer avec les mortels et donc tendre des pièges toujours astucieux, souvent plein d'humour, si on les comprend, et toujours à haute valeur ajouté sur le plan spirituel. C'est pour cela que les spartiates et les romains étaient supersticieux et prenaient garde de ne pas offenser les dieux dans leurs guerres. Il se méfiaient des petits territoires en apparence inoffensifs mais qui pouvaient être sous la protection de quelque Athanatos mystérieux et donc restaient toujours prudents avant et pendant chaque opération militaire.
La deuxième chose, c'est qu'il existe toujours des messagers, des mortels qui font passer les messages des athanatos aux autres mortels de façon orale ou écrite. Il faut prendre garde à ne jamais s'en prendre à un messager, facilement reconnaissable par le style qu'il utilise. La rancune des Athanatos, dans ce cas est toujours éternelle. Les "messages" sont toujours diffusés en abondance et bien avant que ce qui est annoncé se produise. Les humains croient toujours qu'une annonce doit être suivie d'un effet pour être juste. Hé bien dans ce cas, l'effet est très souvent retardé, parfois même très largement retardé et cela fait encore partie des pièges des Athanatos.
La troisième chose, c'est qu'il faut un élément déclenchant pour précipiter les évènements. En général une connerie des humains contre le messager parce qu'ils en ont marrer d'entendre les rappels successifs. Encore un piège des Athanatos, qui par leurs techniques sont traçables depuis que l'humanité garde des écrits de son histoire. Le meilleur aède de cela fut bien Homère.
