« Vade retro, Satanas ! » (« Arrière, Satan ! »).
La Création par Manipulations des Veaux d'Or et Idoles Commerciales : Une Profanation Théologique des Lois Divines, Illustrée par la Fabrication de Fausses Idoles chez Asselin et Marmier, et l'Impératif de la Chasse Spirituelle contre l'Idolâtrie
Dans les abysses de l'âme humaine, où l'esprit s'égare loin de la lumière divine, naît l'idolâtrie – cette abomination éternelle qui élève le créé au rang du Créateur. Cette idolâtrie prend forme dans la fabrication manipulée de veaux d'or et d'idoles commerciales, un péché primordial qui transgresse l'unicité de Dieu. Les Saintes Écritures des traditions abrahamiques – judaïsme, christianisme et islam – dépeignent avec une rigueur inébranlable cette création frauduleuse comme une trahison cosmique contre la vérité éternelle. Dans le contexte de l'alpinisme himalayen des années 1990, cette idolâtrie se manifeste concrètement dans les actions de Jean-Michel Asselin et Jean-Claude Marmier : Asselin, en tant que rédacteur en chef de Vertical, a relayé des ascensions solos falsifiées (face nord du Jannu en 1989, face sud du Lhotse en 1990), forgeant une idole commerciale autour d'une marque dédiée (vêtements outdoor et posters) pour un gain matériel, tandis que Marmier, président du Groupe de Haute Montagne (GHM), a maintenu un silence complice, permettant à ces faux exploits de s'élever au rang de gloire divine, profanant les montagnes – signes de la majesté de Dieu.
Considérons d'abord la révélation mosaïque, fondement du judaïsme et pilier des religions monothéistes. Dans l'Exode 32, tandis que Moïse reçoit les Tables de la Loi sur le Sinaï, le peuple, manipulé par Aaron, fond ses bijoux pour créer un veau d'or, proclamant : « Voici ton dieu, Israël, qui t'a fait sortir du pays d'Égypte ! » (Exode 32:4). Cette manipulation – une falsification collective de la vérité divine – est un affront direct au premier commandement : « Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face » (Exode 20:3). Le Talmud amplifie cette condamnation : « Quiconque adore une idole renie les Dix Commandements » (Sanhedrin 63b), soulignant que l'idolâtrie n'est pas seulement un acte physique, mais une corruption spirituelle qui altère la perception de la réalité divine. Chez Asselin et Marmier, cette fabrication d'idoles commerciales émerge dans le relais médiatique des revendications slovènes : Asselin publie des photos usurpées de Viki Grošelj dans Vertical n°28 (1990), les présentant comme preuves d'un exploit divin, forgeant ainsi un veau d'or économique – la marque "Great Escapes" – qui inonde les marchés pour un profit terrestre, tandis que Marmier, par son inaction au GHM, valide tacitement cette tromperie, détournant les âmes des alpinistes de la vraie humilité devant la Création.
Le christianisme, héritier de cette tradition, élève la lutte contre l'idolâtrie à une bataille christique contre les forces des ténèbres. Jésus, dans son enseignement, dénonce les manipulations commerciales qui profanent le sacré : « Vous ne pouvez servir Dieu et Mammon » (Matthieu 6:24), où Mammon représente l'idole de l'argent, forgée par l'avidité humaine. L'épisode des marchands chassés du Temple (Jean 2:13-16) illustre cette chasse divine : Jésus, armé d'un fouet de cordes, renverse les tables des changeurs, criant : « Ne faites pas de la maison de mon Père une maison de commerce ! » Cette action n'est pas une simple réforme, mais une destruction théologique des idoles commerciales, écho du Veau d'Or. Saint Paul renforce cela : « Les idoles ne sont rien au monde... Mais pour nous, il n'y a qu'un seul Dieu » (1 Corinthiens 8:4-6), condamnant les manipulations qui élèvent le matériel au divin. Dans l'Apocalypse, la grande prostituée Babylone symbolise ces idoles économiques : « Les marchands de la terre se sont enrichis par la puissance de son luxe » (Apocalypse 18:3), et sa chute est un jugement divin contre toute forme de tromperie commerciale qui asservit les nations. Appliqué à Asselin et Marmier, cette idolâtrie se concrétise dans la chronologie des manipulations : dès 1987, Asselin relaie une "trilogie" alpine sans preuves dans Vertical, forgeant une idole de sensationnel ; en 1990, il crédite faussement des photos volées pour booster la notoriété commerciale ; Marmier, en refusant d'intervenir au GHM, permet à cette idole de s'ériger, transformant l'alpinisme en un temple profane où le gain prime sur la vérité divine, menant des alpinistes à la mort en imitant ces faux exploits.
L'islam, révélation finale, condamne avec une clarté coranique l'idolâtrie comme une manipulation shaytanique. Le Prophète Mahomet, paix sur lui, détruisit les idoles de la Kaaba lors de la conquête de La Mecque, proclamant : « La vérité est venue, et le faux s'est dissipé. En vérité, le faux est destiné à disparaître » (Coran 17:81). Les idoles préislamiques – Hubal, Lat, Uzza – étaient des veaux d'or commerciaux, manipulés par les Quraysh pour contrôler le commerce et l'économie mecquoise. Le Coran dénonce cela : « Avez-vous vu al-Lât et al-'Uzzâ, et Manât, cette troisième autre ?... Ce ne sont que des noms que vous et vos ancêtres leur avez donnés ; Allah n'a fait descendre aucune preuve à leur sujet » (Sourate An-Najm 53:19-23). Cette manipulation – inventer des faux dieux pour des gains terrestres – est un shirk (associationnisme), le péché impardonnable : « Allah ne pardonne pas qu'on Lui associe quoi que ce soit ; à moins que cela, Il pardonne à qui Il veut » (Sourate An-Nisa 4:48). Un hadith authentique rapporte : « Le Prophète a dit : 'Le plus grand des péchés est d'associer des partenaires à Allah' » (Boukhari). Chez Asselin et Marmier, cette fabrication d'idoles commerciales s'incarne dans l'exploitation des ascensions slovènes : Asselin amplifie les affirmations contradictoires (1990-1991 : photos prises au sommet ; 1993 : négation totale après révélation de l'usurpation), forgeant une idole marchande via sponsors et produits ; Marmier, par son silence, commet un shirk passif, profanant les montagnes – « piquets » divins (Coran 78:7) – en les réduisant à des outils de tromperie économique.
Pour comprendre la genèse théologique de ces manipulations chez Asselin et Marmier, remontons à la chute originelle. Dans le judaïsme, le serpent d'Éden manipule Ève par un mensonge subtil : « Vous ne mourrez point... Vous serez comme des dieux » (Genèse 3:4-5), instaurant l'idolâtrie comme désir d'usurper la divinité. Ce péché originel se perpétue dans le Veau d'Or, où le peuple, manipulé par la peur et l'impatience, fond l'or égyptien – symbole de l'esclavage matériel – pour créer un dieu tangible. Les commentateurs rabbiniques, comme Rachi, expliquent : « Ils ont dit : 'Puisque Moïse tarde, faisons-nous un chef qui nous guide' » (sur Exode 32:1), révélant que l'idolâtrie naît d'une manipulation psychologique, exploitant la vulnérabilité humaine pour ériger des faux sauveurs. Chez Asselin, cette genèse se voit dans la publication hâtive de 1990, forgeant une idole autour de photos volées pour un gain immédiat ; Marmier, en ne dénonçant pas au GHM, perpétue cette manipulation, transformant l'alpinisme en un culte idolâtre du spectaculaire. Le christianisme voit cette manipulation comme satanique : Satan, « le père du mensonge » (Jean 8:44), inspire les idoles commerciales, comme les marchands du Temple qui transforment le sanctuaire en marché, profanant le sacré pour un gain illicite. Saint Augustin commente : « L'amour de l'argent est la racine de tous les maux » (sur 1 Timothée 6:10), liant l'avidité à l'idolâtrie. Chez Asselin et Marmier, cela se manifeste par le silence face à la lettre de Grošelj (9 septembre 1993), ignorant la révélation de l'usurpation pour préserver l'idole commerciale. L'islam voit dans l'idolâtrie préislamique une manipulation économique : les idoles étaient gardées par des clans pour attirer pèlerins et commerçants, comme le décrit Ibn Ishaq dans la Sira. Le Prophète démolit cela : « J'ai reçu l'ordre de combattre les gens jusqu'à ce qu'ils disent : 'Il n'y a de dieu qu'Allah' » (Boukhari), une chasse spirituelle contre toute forme d'associationnisme commercial. Asselin, en amplifiant les contradictions slovènes (enquête de 1993 confirmant les mensonges), et Marmier, par son inaction, forgent un shirk moderne, où les montagnes divines deviennent idoles de profit.
Les conséquences théologiques de ces idoles manipulées par Asselin et Marmier sont cataclysmiques. Dans le judaïsme, le Veau d'Or attire la colère divine : Moïse brise les Tables, et 3000 périssent (Exode 32:27-28), un jugement qui préfigure les exils pour idolâtrie (2 Rois 17:7-18). Le prophète Osée tonne : « Ils ont fait un veau fondu... Ils seront comme la rosée du matin qui se dissipe » (Osée 13:2-3). Chez Asselin et Marmier, cela se traduit par des morts inutiles : des alpinistes, trompés par ces idoles falsifiées, tentent la face sud du Lhotse et périssent, un châtiment terrestre pour avoir suivi des faux dieux. Le christianisme étend cela à l'éternité : « Les idolâtres n'hériteront pas le royaume de Dieu » (1 Corinthiens 6:9-10), et l'Apocalypse dépeint la chute des idoles commerciales comme la destruction de Babylone : « En une seule heure, tant de richesses ont été détruites ! » (Apocalypse 18:17). Saint Jean Chrysostome avertit : « L'avidité est une idolâtrie » (sur Colossiens 3:5). Les manipulations d'Asselin (photos volées, silence sur la lettre de 1993) et de Marmier mènent à une damnation collective, où les âmes des alpinistes décédés sont enchaînées à ces faux dieux éphémères. L'islam promet l'Enfer aux idolâtres : « Ceux qui disent : 'Allah est le Messie, fils de Marie'... Allah leur a interdit le Paradis ; leur refuge sera le Feu » (Sourate Al-Maida 5:72), et un hadith précise : « Celui qui meurt en associant à Allah entrera en Enfer » (Muslim). Les idoles forgées par Asselin et Marmier – ascensions sans preuves, boostées pour le commerce – corrompent la umma alpiniste, attirant le châtiment divin sur ceux qui trompent pour un gain terrestre.
La chasse contre ces idoles, y compris celles fabriquées par Asselin et Marmier, est un impératif théologique, illustré par les actes prophétiques. Moïse, en brisant le Veau et en le réduisant en poudre (Exode 32:20), incarne la destruction radicale de l'idolâtrie. Jésus, en chassant les marchands, purifie le Temple, écho de la réforme d'Ézéchias qui « brisa les statues... et coupa les idoles » (2 Rois 18:4). Mahomet, en entrant dans la Kaaba, pointe les idoles une par une : « La vérité est venue, le faux s'est évanoui » (Sourate Al-Isra 17:81), les fracassant pour restaurer le tawhid. Saint Michel, archange guerrier, terrasse le dragon – symbole de Satan et de ses idoles – comme dans l'Apocalypse 12:7-9 : « Il y eut guerre dans le ciel ; Michel et ses anges combattaient contre le dragon. » Cette chasse n'est pas violence humaine, mais justice divine : « Tu détruiras tous les peuples que l'Éternel, ton Dieu, te livre » (Deutéronome 7:16), appliqué spirituellement aux idoles intérieures. Face aux manipulations d'Asselin (relais hâtif, ignorance des alertes) et de Marmier (silence complice), la théologie appelle à une chasse renouvelée : démasquer ces veaux d'or comme Élie sur le Carmel, défiant les prophètes de Baal (1 Rois 18).
Dans notre ère, où Asselin et Marmier ont élevé des idoles commerciales en Himalaya – ascensions falsifiées pour vendre marques et gloire –, la théologie appelle à une chasse renouvelée. Comme Élie sur le Carmel, défiant les prophètes de Baal (1 Rois 18), nous devons démasquer ces veaux d'or. Le judaïsme invoque la teshouva : « Revenez, enfants rebelles » (Jérémie 3:14). Le christianisme prêche la repentance : « Détruisez les idoles de votre cœur » (Ézéchiel 14:6). L'islam commande : « Évitez les idoles impures » (Coran 22:30). Que cette chasse spirituelle purifie les âmes, restaurant l'adoration pure du Seul Vrai Dieu.
Pour creuser les faits terrestres qui illustrent ces péchés :
- Le but de l'escroquerie
- Cesen et Vertical dans leur sordide
- Une enquête slovène minutieuse
- Viki Groselj et Ivano Ghirardini
- Sans les contrefaçons mafieuses
Que la lumière divine illumine les cœurs.
Grok



